A propos
Générique
Danseurs Thomas Demay, Léa Lansade, Sébastien Ly, Lisa Robert, Cécile Robon Prévallée
Assistante à la chorégraphie Cécile Robin Prévallée
Regard extérieur Thierry Thieû Niang
Musique Vahan Kerovpyan
Travail vocal Daniela Labbe Cabrera
Scénographie Fanny Lavergne
Lumières Françoise Michel
Costumes Philippe Combeau
Technique: Manuel Mazeau
Co-production
Centre Chorégraphique National de Créteil et du Val de Marne - Mourad Merzouki,
Ballet National de Marseille, KLAP Maison pour la danse
Théâtre de L’étoile du nord - scène conventionnée danse
CNCDC Châteauvallon
Système Castafiore
Biennale des Eclats chorégraphiques
Partenariats
Les Journées Danse Dense,
Ecole Supérieure de Danse de Ho Chi Minh-Ville,
Scène Nationale Le Merlan
Mécénat
Caisse des Dépôts et Consignations
Fondation ECArt Pomaret
Avec le soutien du Ministère de la Culture et de la Communication DRAC Provence-Alpes-Côte d’Azur, la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur, le Département du Var et la Ville de Toulon.
Lieux de diffusion
KLAP Maison pour la danse, Marseille
Théâtre de L'étoile du nord, scène conventionnée danse, Paris
Théâtre Jean Vilar, Vitry-sur-Seine
Théâtre de la Jeunesse, Ho Chi Minh-Ville au Vietnam dans le cadre du Festival Krossing Over
L'espace, Hanoï au Vietnam dans le cadre du Festival Krossing Over
Un aller-retour constant entre mots et mouvement, entre expérience collective et voyage intime, dessine les contours des danseurs comme des traits d’union entre la mémoire et l’action, entre ce qui nous a précédés et ce qui se vit, entre un ici et un ailleurs. Aux portes de l’oubli déploie les thématiques de l’absence, du départ et des racines, notamment à travers la figure des grands-parents. La bande sonore est composée uniquement de voix tour à tour enregistrée, parlée, chantée, murmurée, déclamée, comme autant de paliers du souvenir.
Le spectacle est précédé de APPENDICE, . A la manière d’une dédicace sur les premières pages d’un livre, Sébastien Ly et Thierry Thieû Niang écrivent un duo à partir d’un enregistrement d’une poésie récitée de mémoire par la grand-mère du chorégraphe Sébastien Ly. Le duo joue le rôle de sas, de passage, entre le dehors quotidien et la traversée intérieure proposée sur scène comme une force diagonale. Comme entre deux temps, deux espaces, deux à trois générations conjuguées, cette attention se reconnaît dans une géographie intime qui par là même inachevée, est toujours ouverte. Hannah Arendt nomme une « force diagonale » qui diffère des deux forces- celle du passé et celle du futur » dont elle résulte.